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AceOfShades
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Right Where It Belongs
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Au moins nous on va pas mettre notre bagnole dans le parking à la base du building 
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jez
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ah ouais, au niveau de la setlist on a eu sensiblement la même qu'a Paris, à la différence qu'ils ont remplacé FT par UAGM donc content le Jez ^^
et Panic Attack, en live, ca poutre!
bon, je v tenter le report ce soir car hier soir apres le taff je suis parti chez mon boss pour réparer son ordi, et ca a fini en apéro + pizzas + potes + rosé... donc voila ^^
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 jez a écrit: |
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et ca a fini en apéro + pizzas + potes + rosé + partouze avec ses 4 bergers allemands |
beuark
des fois tu me dégoute jezzz ...
PS : Paradoxal : on dit pas "building". En général qd on utilise un mot anglais c'est qu'on a pas d'expression consacrée pour quelquechose qui a déja été défini par les anglophones. Ainsi on utilisera :skateboard, funboard, cool, hold-up, kidnapping ... plutot que leur traduction (qd il y en a)
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AceOfShades
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Right Where It Belongs
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Le "building", c'était moi, pas Paradoxal 
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lejoker
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aka Bobo
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bah on sait bien que vous êtes une seule et même personne qui a 2 comptes
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AceOfShades
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Right Where It Belongs
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Bien entendu, y'a TOG aussi qui est le seul et unique Québécois
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| Paradoxal Dream a écrit: |
???
Labrie aurait-il tenté sa revenge à propos du fameux "tackle"? |
Je ne sais pas ce que c'est un tackle mais ce que je racontais c est simplement qu'une personne dans le public a balancé un ballon en plastique sur scene et que labrie a eu un regard qui disait " je suis chaud bouillant , je vais le renvoyer dans le public en tapant dedans" sauf qu'il a shotté mal et qu'il a heurté myung de dos et que le petit john s est retourné 1 seconde pour voir d ou ca venait, imperturtable...
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pince
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labrie vs. myung 1 partout balle au centre
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Sly
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Nostalgique de l'acoustique
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| arnaud a écrit: |
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Je ne sais pas ce que c'est un tackle ... |
bah dis moi pas qu't'as jamais joué au foot de ta vie gamin !?!?
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jez
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| jez a écrit: |
de la ou on était on a vu le ballon taper la tête de la basse de Myung!
Et il s'est qd même retourné avec un ragard méchant! ^^ |
De fait on m'a dit qu'il avait pas l air content mais j ai pas fait attention
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pince
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shadok croisé chat noir
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le tackle en question
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En tout ca mike semble apprécier la gamelle 
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jez
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voici le report de Tibo ^^
Vendredi 24 Juin:
Il est 6h30 quand Jez et moi nous levons pour partir à l'aéroport direction Bruxelles. On plie donc bagage et on se retrouve moins de 5 heures plus tard en Belgique.
Location de la voiture et là , première surprise. On avait réservé une Focus et on se retrouve avec une Chevrolet !!! On met donc nos plus belles lunnettes de soleil, notre plus belle montre en évidence, et notre bras le plus bronzé à la fenêtre... et on part.
Et là , premier choc... la signalisation en Belgique. Plus merdique, plus naze, plus bordélique... ça n'existe pas. On a quitté l'aéroport a 12h00... on est arrivé près du site du festival 4h plus tard...(la distance entre les deux était 120 km...).
Pas grave on y est presque (mais dans l'histoire on a quand meme raté Caliban, dommage).
Nous sommes donc à Turnhout, petite bourgade belge, où il fait tres tres chaud, ou les gens roulent à vélo et ou il y a 4 pharmacie par habitant.
On décide de se restaurer un peu à la "taverne" locale à coup de litre et d'un bon gros sandwich (et d'un café dégueulasse... parce que s'il y a 2 choses que les belges ne savent pas faire en dehors de la signalisation, c'est bien le café et les jolies filles...).
Restaurés (et un peu bourré), on part en quete du super marché local pour nos derniers achats (des bouteilles d'eau... oui je sais c'est pas tres rock n roll pour le coup).
Le coffre plein on peu enfin repartir.
On arrive enfin sur le site vers 17h30 et on gare notre CHEVROLET (hahaha c bon de se la péter) sur l'un des 3 immenses parking du site. On prend les bagages et on part vers le camping. Au bout d'un quart d'heure de marche et autant de temps de plaintes de jez, qui je cite : "avait mal au dos, avait chaud, avait mal au pied, avait mal à l'épaule, que l'eau c'est lourd, que putain il faut qu'on fasse une pause, la vache il fait chaud, arf connerie de bouteille, j'ai mal au bras, on fait une autre pause???, rha putain c'est loin, j'en ai marre, je veux faire pipi, je t'ai dit que j'avais mal au pied ??... et ainsi de suite... on arrive enfin à destination.
Première queue pour entrer, mais pas trop longue et avec à la clé le bracelet magique qui nous servirait de pass pour tout le séjour. On entre enfin, et gros choc. Des tentes à perte de vue... partout, tout le temps, que des tentes. Désespéré de trouver une place, on marche encore et encore et encore et.... hoooo tiens une place. On s'arrête donc et on se la joue à mort avec notre tente de kéké que tu la jettes et qu'en l'air elle se construit toute seule (à faire en lançant de grands sourire aux galériens à coté de toi en train de trimer à assembler la leur depuis 20 minutes).
On pose sac et tout et tout, et hop direction de site du festival parce qu'on est un peu venu pour ça quand meme.
On arrive enfin et encore un gros choc. C'est immense, il y a de tout (bouffes diverses et variés, boissons, marché remplis de stand de T shirt et autre accessoire du parfait métalleux, un "super marché" avec que des disques, des hotesses pour te donner de la cremes solaires et des lingettes, des prise pour téléphone portable, des pochtrons, des pochtronnes....).
On regarde l'horaire Papa Roach joue bientôt. Chouette. On se précipite donc vers la scène principale où on arrive à se placer au 2eme rang.
Il est 19h35 quand les américains investissent la scène (les belges ils rigolent pas avec les horaires... dommage qu'il y n'y ai pas le meme sérieux pour le café...) et envoie tout de suite la patate en sortant un bon gros mix des trois album avec en toute logique un mise en avant du dernier. 1h plus tard, leur excellent set s'achève. On était tout devant, on était content, on en avait pris plein la tronche et... on était noir de poussiere. Un petit tour au stand des lingettes et aux chiottes... puis direction les douches.
Retour au camping, et le temps d'arriver les douches ont fermé. Super... résultat, on s'est "lavé" (si tant est que le mot puisse s'appliquer à ce qu'on a tenté de faire) à l'Evian...
(presque) Propre, on retourne sur le site alors qu'évanescen..... heu within temptation pardon à commencé sur la scene principale (qu'on entendait d'ailleurs 1 km plus loin sur le camping). Il est 22h30, il fait encore jour, on mange et on s'apprete à aller voir Dillinger sur l'une des scènes annexes.
Tres impressionnant sur scene et de carétitude, mais d'une musique un peu obscure pour les oreilles du profane, on va jeter un oeil à Megadeth qui joue pas loin... puis on se met en place pour la tete d'affiche du jour System of a Down.
Un énorme drapeau de Mesmerize recouvre la scene. A Minuit, ils commencent... et là mais quelle claque.... rhooooooooooo mais quelle claque (qui ne sera pas la plus grosse du festival cependant). Le groupe qui joue sur scène ce soir n'a rien a voir avec celui d'il y a 2 ans.
Carré, d'une propreté incroyable, d'une justesse ahurissante... et quelle classe bordel. Nouveaux titres et classiques s'enchainent sans aucun temps mort (peut etre 5 pauses en 1h30...). On se rends compte que les morceaux ont été remaniés pour se lier les uns aux autres sans choquer... on se croirait presque à un concert de prog...
Les musiciens sont impériaux, surtout Daron qui chante désormais beaucoup. Serj est d'un prestance monstrueuse sur scene et va meme jusqu'à faire du synthé sur certains morceaux.
Bref, un régal de chaque instant, et une petite larme quand leur set s'achève tant on a touché du doigt la perfection.
Voila, c'est donc enchanté qu'on retourne à la tente (et toujours tres sale et plein de poussiere) pour une (petite) nuit de sommeil. Y a pas à dire les camping de festival c'est étrange. De la musique partout, des gros cris death ici et là , des pochtrons parlant dans une langue de merde qu'on appelle le flammand... bref c'est dans un ambiance un peu surréaliste qu'on s'endort ne sachant pas encore que la plus grosse claque restait à venir.
Samedi 25 Juin
C'est par le soleil et les cris des pochtrons de la tente d'à coté que nous sommes réveillé au bout de meme pas 6 petites heures de dodo.
Il est donc 8h30 a peu près quand nous émergeons et là , une seule et unique chose s'impose (enfin pour moi parce que jez ça l'a pas trop dérangé outre mesure ): LA DOUCHE. Mes affaires sous le bras je marche donc en direction du paradis... pour me mettre au bout d'une queue qui ferai palir de jalousie un Mac Do le 14 juillet a 12h.
Ceci dit, j'ai pu assister à une situation un peu surréaliste: une longue file de metalleux, crasseux, tatoués à coup de "fuck jesus" et autres messages de paix, une biere à la main pour se rincer le bouche de bon matin... avec leur petite serviette de bain naf-naf et leur petite trousse de toilette Armani toute bien rangée. Un contraste saisissant.
Une heure plus tard je reviens (approximativement) propre à la tente. Jez m'attends (approximativement lui aussi) réveillé.Ce dernier part à son tour tenter sa chance à la douche et reviens démoralisé par l'attente. Nous partons donc en quête du petit dej et nous arrêtons dans le chapiteau prévu à cet effet. Après s'être sainement nourrit (lardons baignant dans leur huile et autres...), nous partons tout guillerets vers le site du festival pour prendre notre première claque de la journée: Soilwork.
C'est donc plus d'une heure avant le début de leur set que nous arrivons et nous pressons en tant que bon fan hardcore vers les premiers rangs du mainstage pour trouver à notre grande joie une place collés contre la barriere au premier rang (on a meme eu le temps de boire un petit litron de maes avant quand meme... pour se mettre en forme).
D'un coup, à 12h35 pétante, un son fait taire tout le monde... celui du sample d'intro de Stabbing the Drama... le temps parait alors suspendu quand le groupe investi la scène jusqu'au déccrochement des machoires provoqué par le plaquage du premier accord. Et là pan tout s'enchaine, notre ami Bjorn "Speed" ultra présent et ultra charismatique mène sa barque d'une main de maître voguant sur les flots des trois derniers albums du groupe (Natural Born Chaos, Figure Number Five et Stabbing the Drama). Le groupe sera impérial tout au long de ses (beaucoup trop courtes) 45 minutes de prestation: pas de plantage, un son de porc, un chant magistral, une carrétitude métronomique... bref une grosse claque comme on en voudrai tous les jours.
Fin du set de nos amis suédois, nous partons nous restaurer à coup d'hamburger, de tacos, et d'un autre litre. Ensuite viens le temps du shopping. Jez investi dans soilwork a fond (sweat et T shirt spéciale dédicace) et moi un bete tshirt blanc du graspop destiné au séances de dédicasses. Justement celle de soilwork attends.
Nous nous rendons donc dans la queue et attendons notre tour. Nous passons enfin devant eux pour notre plus grands bonheur (le tout filmé au téléphone portable).
Ravi... il est temps maintenant de nous préparer, de boire et de se concentrer pour ce qui va arrivé et qui pour moi restera LE MOMENT de tout le festival, LA CLAQUE. J'ai nommé HATEBREED.
On se donne du courage avec un nouveau litre de biere, on rédige notre testament et on se dirige vers le premiers rang une heure à l'avance, parce que "Hatebreed de loin, c'est moins bien". On se retrouve donc au 2eme rang quand le premier accord se plaque et que les furieux montent sur scène.
17h25, le monde bascule. Il n'existe plus rien autour de nous à part la scène... et le chaos ambiant. Parce que oui, quand on a un malade mental complètement dérangé qui harrangue la foule en demandant tout d'abord un , puis deux circle pit, puis qui sépare la fosse en 2 pour un monstrueux braveheart, le tout en assénant des "straight to your face", "Doom sayer" et "Another Day, Another Vendetta" d'anthologie dans ta gueule, on parle bien de Chaos. Une guerre surréaliste, violente qui ne quittera pas la fosse durant les 1h du set. Vos serviteurs ont donné également de leur personne a grands coup de pogos et de slams, suspendus dans un autre monde, ou tout n'etait qu'anarchie et déferlement de haine. Le chanteur, soucieux du public va meme demander à un moment si tout le monde s'amuse et si personne n'est blessé. 18h 20... c'est l'heure de la redescente sur terre. Et là une idée nous vient..."on a survécu".
L'adrenaline redscendue apres ce que nous venions de vivre, sales et couverts de boue et d'autres substances douteuses, on decide de se restaurer à la buvette avant d'aller jeter un oeil à Samaël qui vient de commencer sur l'une des scènes annexes. Malheureusement, leur son plus qu'insultant et inaudible nous a contraint à abandonner et à nous rabattre vers les douches.
Rapide retour au camping, longue douche (queputainellefaitdubien) et hop rapide retour vers le site du festival pour les dédicaces d'In Flames (qui joueront plus tard dans la soirée) et d'Hatebreed.
20h10, nous voila dans la queue. A ce moment alors qu'Accept joue de son heavy sentant l'huile de moteur et la sueur sur le mainstage une idée nous vient. Notre but demander à In Flames de dire un "Hi to Metalsud" devant la caméra. Malheureusement, une fois devant eux et apres leur avoir expliqué ce que nous voulions en plus des signatures, Jez n'eut pas le temps de les filmer entrain de le dire, rapidement éjecté par un gars de la sécurité... il le diront devant moi mais sans caméra désolé (il l'ont meme répété un bon nombre de fois ... a priori ça les a bien fait marrer).
Pas grave on essayera avec Hatebreed, mais pas pour le meme message ^^. Donc rebolote la queue et hop nous voila 20 minutes plus tard devant Hatebreed. Et la c'est le choc. De bourrins méchants sur scenes, on est face à une bande de gros Bébés tous sourires. Le chanteur serre la main à tout le monde, demandant comment ça va, s'ils ont apprécié le set, se prétant avec un grand plaisir affiché au jeu des photos. On en profite, et leur chanteur nous gratifie pour notre plus grand plaisir (à notre demande quand meme... mais qu'est ce qu'on a bandé...) d'un "Last Order Rules" devant la caméra. J'en ai mouillé mon caleçon (le tout est filmé et a voir dans le micro docu qu'on prépare). Bref tous gentils, aimables, souriant... que du bonheur.
21h15, l'agitation gagne le site. Sur le mainstage 4 grands étendard annonce la couleur. Les premiers accords sonnent... et Slayer investi la scène. On assiste alors à 1h15 de douceur, de voluptuosité, de finesse et tout ce qui caractérise se groupe de poète. Un eambiance de dingue, un set magistral... bref que du bonheur en barre délivré par ces "papa" du metal.
22h35, on se rend sur l'une des scène annexe pour In Flames. Pas tres rassuré à cause du son pourri dont on "bénéficié" les groupe précédent sur cette scene, c'est un peu angoissé qu'on prend place. Heureusement les premiers accords vont nous rassurer... le son est MONSTRUEUX, et le groupe l'est tout autant. A la 4eme chanson, grosse surprise. Le groupe fait monté un gars du public sur la scene pour chanter une de leur chanson. Le chanteur lui donne les instructions... et se casse en backstage laissant le pauvre gars tout seul sur scene avec les autres gars du groupe. Notre ami ne s'est pourtant pas démonté et a vraiment bien assuré, faisant meme sauter et chanter le public avec lui.
Au final, on aura eu droit à une excellente prestation de la part du groupe, offrant un énorme mix de tous leurs albums, le tout avec classe, carrétitude et superbe ambiance.
Mais tous n'est pas rose dans le petit monde du metal et la déception, la seule du festival d'ailleurs, viendra de la tete d'affiche de la soirée... slipknot.
23h40, l'intro se lance et rapidement le premier morceau "the blister exists" est balancé. Hé la... ben... heu... bof... son de merde, pas carré un brin... ( a croire qu'ils ont copié notre concept d'Unsquare core ces cochons), le chanteur qui balance exactement les meme phrases au meme moment qu'a Bercy il 6 mois de ça. VOila pas grand chose à dire.
On a trouvé plus judicieux d'aller se coucher, la tête pleine d'image par ce qu'on avait vu dans la journée (et quelle claque en ce jour), et récupérer pour le dimanche qui allait venir.
(A suivre).
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29 Juin 2005 04:27
